Petite Ballade (with Lune de Miel)

Le vent dans le sens du poil, le nez dans le vent, rien de tel pour se réveiller.
Voilà les conditions dans laquel Pelage d'Ombre s'était plongée.
Voilà bien peu de temps que le soleil était sortie et illuminait les gouttes de rosés matinales.
Le matin se retrouvait étrangement brillant, et était une des périodes favorite de la journée de la jeune lieutenante.
Cette fois-ci, elle était accompagner d'un autre chat.
Juste de quoi partager se merveilleux moment qu'était le réveil de la nature.
Un moment d'émotion et de poésie.
La queue battant l'air d'un air joyeux, le pelage lustré, elle trottinait d'un air légée.
L'air était doux, le soleil brillait, que demander de plus ?
Sur un arbre non loin d'elle, perchée sur un branche basse qui avait retrouvé sa verdoyance, se trouvait un petit écureil roux qui la regardait d'un air éttonné, il y avait de quoi !
Le chatte passa son chemin, elle se dirigea d'une patte soutenue vers Le Grand Sycomore.
Les arbres jeunes avait encore poussé et offrait de noubreuse cachette pour des animaux, donc du gibiers en persective.
Pelage d'Ombre s'en laichait les moustaches d'avance, rien qu'en pensant au gout de la sourie bien dodu, un trophé de chasse, un repas merveilleux.
Les lieux commençaient à se réffaucher à présent et les rayons de soleil perçaient de plus en plus la couche touffu que formait les feuilles des arbres.
Un pinsson affoler s'envola précipitement non loin de là, de peur d'être mangé.
La lieutenant se retourna vers le félin qui l'accompaganait :
Une partie de chasse te dirait ?
Elle secoua la queue de plus belle et sentit ses moustche frémir d'exitation.
Après tout, la belle saison était de retour, autant se remplir la panse et remplir la réserve de nourriture.
Petit courant d'air frait apportant odeur de sourie.
Son plat savorie, une odeur tellement délectueuse !

Lune de Miel sentait la brise fraiche venir carresser son pelage couleur de miel,
elle entendit le chant lointain d'un rossignol.
L'odeur agréable des fougères embaumait l'air et le soleil étonnament brillant ce matin là la réchauffait de la pointe des moustaches jusqu'au bout des pattes.
C'était le meilleur jour possible pour une balade avec Pelage d'Ombre.
Oui, je n'aurai pas pu tenir longtemps en entendant tous ses rongeurs se faufiler dens les buissons.
Elle s'arreta et entrouvrit la bouche,
elle percut alors l'odeur d'une souris
*Miam, mon plat préféré*
Puis elle se rappela que le clan passait avant son estomac,
et se força a ne pas trop saliver.
Elle se tapit au sol et avança jusqu'a un buisson d'Aubépine,
Puis elle banda ses muscles et bondit sur le rongeur qu'elle acheva d'un coup de dent.

Quand à Pelage d'Ombre, elle partit a traver une fourée qui était sur sa droite.
L'odeur de la sourie qu'elle avait sentie était dans cette direction.
Elle déboucha dans une petit clairière et se retrouva dans les fleurs.
Ravie de cette beauté, elle courut.
La sourie pas devant elle, affolé.
La jeune chatte lui courut après, mais la sourie se trouvait rapide.
Elle zigzagait, et obligeait la chatte à faire de même !
Quelle pouasse pour elle.
Décider plus que jamais à avoir cette sourie, elle courut avec plus d'acharnement.
Sa proie fut bientot à sa portée.
Le reste de la vie de la sourie fut courte.
Pelage d'Ombre raporta sa proie et l'enterra
Le reste de sa chasse fut fructueuse :
2 pinsson, 1 lapin, deux autre sourie, et un écureil.
Elle retourna au point de ralliment et attendit Lune de Miel.

Lune de Miel se prélassait au soleil
sur l'herbe rase à quelques longueurs de queue du Grand Sycomore,
elle avait enterré ses prises non loin de cet endroit.
La lumiere du soleil se refletait dans ses yeux verts
ce qui leur donnait la couleur de l'Emeraude.
Quelques instants plus tard
elle se leva et s'étira
elle prit ses proies dans sa gueule
(un lapin, un oiseau et un rat d'eau)
puis en balançant joyeusement sa queue de droite à gauche
elle se dirigea vers la branche basse
où elle devait rejoindre Pelage d'Ombre.

Un vent lui apporta l'odeur de Lune de Miel qui revenait de sa chasse.
Quand Pelage d'Ombre la vit sortir des fourrées la geule pleine elle s'extasia :
Boenne chasse, la réserve va se remplir et remplir notre venre meurtrit.
Veux-tu rentré à présent ou continuer.

Combatant une terible envie d'avaler ses proies,
Lune de Miel se rendit compte que Pelage d'Ombre lui avait parlé.
-Heu, je ne sais pas.
D'un coté sa serait bête de ne pas profiter de l'abondance du gibier,
mais de l'autre on risque d'attraper une indigestion.
Bien sur, elle adorait son rôle de guerisseuse mais soigner des chats souffrants n'était pas tres amusant.

S'agitant un peu, Pelage d'Ombre répondit.
Il est vrai qu'il nous faudrait preofité de l'abondance du gibier.
Et je ne crois pas que l'on attrapera un indiestion si nous nous modérons.
Ne crois-tu pas ?
Un oiseau s'envola d'une branche près d'elles.
Il s'envola dans les cieux dans un concert de cris.

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